Malgré la crise, l’appétit des Portugais pour les jeux d’argent ne diminue pas. Au point que le ministère de la santé a décidé de mener un plan d’envergure pour lutter contre les risques d’addiction.
L’une des banlieues les plus dangereuses de Lisbonne, Cova da Moura, s’est ouverte au tourisme il y a dix ans. Voyeurisme ? Pas pour l’association qui a lancé le projet.
Rua de Loreto, au cœur de Lisbonne, la boutique de cierges et de bougies décoratives « Caza Das Vellas », fondée en 1789, tente de surmonter la crise et le recul du nombre de fidèles.