A cause de la crise mais aussi par conviction, de plus en plus de jeunes diplômés portugais cultivent la terre, bousculant ainsi les codes du métier et suscitant des fantasmes.
C’est un des rares secteurs qui embauche au Portugal. Alors, les salariés des centres d’appel se satisfont de ce qu’ils ont : travailler pour une hotline, c’est mieux que rien.
La crise a engendré toute une génération de travailleurs précaires au Portugal. Sous-payés ou exploités gratuitement, certains refusent de perdre espoir et ont décidé de lutter.
Depuis 2008, le projecteur médiatique est braqué sur la crise grecque. Au détriment du Portugal, dont la réalité socio-économique n’est pas beaucoup plus enviable.